Sélectionnez une région de marché et langue
  • Suède
  • Australie
  • Autriche
  • Belgique
  • Canada
  • Danemark
  • Finlande
  • France
  • Allemagne
  • Irlande
  • Italie
  • background Layer 1
    Japon
  • Corée du Sud
  • Pays-Bas
  • Norvège
  • Espagne
  • Royaume-Uni
  • Etats-Unis
  • International
Number 1 slide-item
Number 2 slide-item
Number 3 slide-item
Number 4 slide-item
Number 5 slide-item
  1. First thumbnail
  2. Second thumbnail
  3. Second thumbnail
  4. Second thumbnail
  5. Second thumbnail

Marc Olson achète son premier engcon en 2018. Cette année, il s’offre son cinquième.

« C’est Noël tous les jours quand je vais au travail, dit-il à propos de son équipement engcon. Ça me met le sourire aux lèvres. »

Marc Olson travaillait récemment sur un chantier à Nyack, dans l’État de New York, un village situé au bord du fleuve Hudson. Sa mission : démolir un vieux garage et creuser une tranchée pour une conduite d’égout domestique.

« On était tellement à l’étroit que la machine restait coincée et j’arrivais tout juste à pivoter. » Il pouvait avancer et reculer d’environ 1,6 m dans un couloir exigu entre la benne et le garage qu’il démolissait. « Je prenais des morceaux de toit, je les ramenais avec un maximum de précautions et je faisais pivoter le tiltrotateur pour les déposer dans la benne à ordures. » C’est un des chantiers les plus serrés qu’il ait jamais eus, poursuit Marc Olson. D’après lui, sans son tiltrotateur engcon, il lui aurait fallu une semaine entière pour démolir le garage et nettoyer le chantier. « On l’a fait en deux jours et demi. Le tiltrotateur change complètement la donne. »

Comme d’autres utilisateurs de tiltrotateurs l’ont constaté, la polyvalence des machines les aide à être plus efficaces dans leur travail et donc de réduire les coûts de main-d’oeuvre. « Si mon gars (Daniel, qui travaille pour lui depuis dixsept ans) va déjeuner ou prendre un café, le travaille ne s’arrête pas pour autant. Je peux tout faire », explique Marc Olson. Quand il a fallu creuser la tranchée et ensuite remblayer, le seul emplacement où on pouvait mettre la machine était sur une petite élévation de terre perpendiculaire à la tranchée. Muni d’un godet posecâble engcon, Marc Olson a pu percher sa mini-pelle Yanmar à cet endroit précis d’où il a creusé et remblayé sans aucune problème.

Même s’il fait surtout des travaux de chantier, il a aussi des missions de nature plus « grave ». Un cimetière fait appel à lui depuis dix-huit mois environ. Comme il s’y rend assez souvent, il a choisi d’y laisser en permanence deux machines et du matériel engcon. « Généralement, les cimetières utilisent des tractopelles mais le godet que j’ai a exactement la taille qu’il faut pour les caveaux et il laisse le fond parfaitement lisse. »

Après avoir creusé la fosse, Marc Olson revient dans un deuxième temps pour combler. « C’est là que le godet cribleur s’avère indispensable», fait-il remarquer, car le godet retient les pierres et « ne laisse passer que la terre. Cela rehausse la dignité de la cérémonie. »

Marc Olson est diplômé en génie civil de l’Institut de technologie de Rochester. Il a décroché son premier emploi dans un grand bureau d’études chez General Dynamics. Mais il a vite réalisé qu’il n’était pas fait pour le travail de bureau : « Je passais la journée à regarder par la fenêtre, je rêvais d’être de l’autre côté, même quand le thermomètre affichait zéro degré. » « J’ai fini par démissionner et j’ai trouvé un travail de conducteur de tractopelle. Je n’ai jamais regretté mon choix. Il faut être à l’écoute de ses rêves ! »

Quelques années plus tard, en 1986, il décide de se mettre à son compte et crée M.P. Olson Excavation, à Suffern, dans l’État de New York. Mais ce n’est qu’en 2011, découvrant le tiltrotateur au CONEXPO de Las Vegas qu’il a l’idée de développer son activité avec engcon. Il l’essaie sur le parking de l’exposition, « et ça a été le coup de foudre immédiat. »

En retournant au CONEXPO en 2017, il commande son premier engcon, un 204. Aussitôt reçu et monté sur sa machine, Marc Olson s’amuse un peu avec pendant le week-end, et le lundi, il l’emmène sur un chantier, un projet de creusement de cent-vingt égouts à Sloatsburg, un village de l’État de New York. Une semaine plus tard, il commande un deuxième engcon. Et il n’a cessé de compléter sa collection depuis. Force est de constater que Marc Olson sait reconnaître une bonne chose quand il la voit.

« C’est Noël tous les jours quand je vais au travail, dit-il à propos de son équipement engcon. Ça me met le sourire aux lèvres. »

Marc Olson
M.P. Olson Excavation

404 - Page introuvable

Nous n'avons pas trouvé la page que vous cherchez.

Une erreur est survenue

Essayez de charger à nouveau la page pour voir si l'erreur se reproduit.

Une erreur est survenue

Nous n’avons pas pu vous connecter à l'Internet. Assurez-vous que vous disposez d'une connexion réseau qui fonctionne.